lundi 4 mai 2015

Un an plus tard..

J'allais avoir 15 ans quelques mois plus tard. Je ne saurais trop dire pourquoi, mais un matin j'ai fini par confesser mon viol à ma mère.
Je n'étais alors attirée que par les filles, et cela me convenait parfaitement, de toute façon j'avais pas vraiment envie d'approcher un homme après ce qu'il m'était arrivé.
Mais la réaction de ma mère a tout chamboulé en moi. Elle ne m'a pas cru, prétextant que si cela avait était vrai je lui aurais dit bien avant, et que de toute façon si c'était vrai, je ne devais pas y être pour rien. Elle a même lâchée cette phrase, d'un ton sec, qui résonne encore aujourd'hui dans ma tête : "De toute façon tu n'es qu'une salope."

C'est ce jour là, à cet instant précis que tout a basculé. J'étais malgré tout "la gentille fille", celle de bonne famille, etc.
Mais plus à cet instant. Je suis sortie le lendemain pour que mon frère prenne l'air, c'était les vacances. Nous avons été sur la place principale du village.
Pierre faisait du vélo, moi je le surveillais, j'en profitais pour fumer, puisqu'il m'était interdit de fumer dans la maison.
Il y avait trois mecs que je n'avais pas remarqué, ils étaient un peu plus haut. L'un d'eux m'a demandé mon numéro, sur un coup de tête et ayant décidé de montrer ce qu'était vraiment une salope j'acceptais. Il envoya les deux autres faire un tour sur son scooter.
Il me questionna un moment, sans pour autant paraître vouloir quoi que ce soit.
C'est le soir vers 23 heures que je su que j'avais finalement raison. Il essayait de me donner envie par messages, je jouais le jeu tout en lui en envoyant des plus en plus chaud. Soudain je reçu un MMS, je l'ouvrait et sans surprise, il m'avait envoyé une photo de son pénis. Je lui envoyais alors une photo de ma chatte en réponse. Une chose en entraînant une autre, il m'a demandé de coucher avec lui.
J'ai accepté.

C'était fixé, nous devions nous retrouver le jeudi, donc le surlendemain, dans la forêt du village, à 15 heures.

Aucun de nous ne fut en retard. Alors qu'il ne m'avait pas encore adressé la parole, je défis sa ceinture et le pris en bouche aussitôt. Il avait l'air d'aimer, à tel point qu'en moins de 5 minutes il giclait dans ma bouche. J'ai avalé son sperme, et étonnement il n'avait pas débander. Il m'a alors retournée en me faisant prendre l'équilibre sur un arbre avant de venir s'introduire en moi, protégé bien entendu (bien que maintenant cela ne serve plus à rien).
À vrai dire j'ai eu plus de plaisir lorsqu'il m'a doigté que lorsqu'il m'a pénétrée mais bon, je n'étais pas là pour mon plaisir.

Nous nous sommes souvent revus, j'ai même fini par "aider" un des ses amis. C'est grâce à eux deux que j'ai pris conscience que la plupart du temps, il fallait simplement accepter d'être le jouet sexuel d'un homme pour qu'il soit heureux. Et bien sûr toujours penser à simuler, même (et surtout) si leur engin n'est pas assez imposant pour qu'on ressente quoi que ce soit.

Aujourd'hui je sais aussi que chaque femme est différente, particulièrement au niveau du vagin, et que dans mon cas je suis dure à satisfaire car le mien est très large. Sans exagérer, on peut me fister le vagin, même si je ne mouille pas et sans l'aide de lubrifiant.

C'est d'ailleurs quelque chose qui me rend folle de plaisir lorsqu'on me me fait...

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